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Cris de révoltes et autres
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23 janvier 2014

juste une envie...

Certaines personnes prennent le fait de se suicider comme un acte de « lâcheté et d’égoïsme », mais aussi pour une faiblesse de caractère. Mais qu'en savent ils réellement au sujet d'un tel acte juste la théorie lors d'une ou deux conférence qui font d'eux d'un coup de de baguette magique des « psychologue à deux sous voir moins ». il faut être dans un contexte et un état d'esprit bien particulier pour avoir la « force » de mettre fin à ses jours.

Au cours de ma vie j'ai des phase de dépression ou l'idée du suicide n'était pas absent pour au tant,je ne me suis jamais suicidé, bien que les trouble dont je souffre soient parfois difficiles à supporter et rendre ma professionnelle chaotique au point d'être plutôt mal vu et l'on aimerai bien se séparer de moi.

Le suicide est un acte « froid » et calculé, il devient l'objet d'une « libération morbide », certains candidats au suicide lancent des message d'appel à l'aide, mais bien souvent on ne les entend pas ou bien on veut pas les entendre car chacun à sont lots de problèmes et de soucis à gérer sans rajouter ceux des autres... Non celui qui est décidé ne dira presque rien à ce sujet, c'est là ou se trouve le danger sur chez les ados et le jeunes adultes qui sont le plus touchés par un tel acte de désespoir. Dans beaucoup de cas, seul un spécialiste de la santé mentale est en mesure de déchiffrer les signe annonciateur d'un tel geste fatal. C'est pour cette raison qu'il ne faut pas avoir honte de se rendre aux Urgences psychiatriques quand ça ne va pas ! Moi, j'ai déjà eu à faire à ce type de service pour d'autre raison, des crises d'angoisse qui m'empêchaient de dormir, au bout d'une semaine je commençais à ne plus aller bien nerveusement d’où ma consultation en urgence d'un psychiatrique. Je souffre depuis un certain nombre d'année de troubles bipolaires, grâce à eux j'ai perdu mon emplois, mes amis ce qui est déjà beaucoup. Certes dans une telle situation, j'aurai pu faire le grand saut vers « l’au-delà » et pourtant je ne l’ai pas fait, ce qui m'a empêché de le faire, c'est de me dire que « demain ça ira mieux ».

Aujourd'hui, j'ai une amie qui connaît mon passé, elle a peur que je recommence à me scarifier, lui dire que je ne le refais pas, c'est une promesse de gascon, ces choses là, on peut tout juste les éviter si on voit ou bien on parle à la bonne personne au bon moment ! Je me scarifiais pour des raison que peu de personnes peuvent comprendre, alors c'est pour ça que je porte rarement de manches courtes l'été, pour qu 'on ne voit pas les cicatrices. On ne se scarifie ou l’on ne suicide pas par plaisir ! C'est le fruit dune souffrance psychologique intense et persistante qui anéantit toutes vos défenses, l'une après l'autre, en vous laissant aucun répit. À ce rythme là, peu d'être humain, même les mieux préparés (les commandos) ne peuvent tenir la distance sans dommage !

Les dommages occasionnés par mes troubles de l'humeur sont d'ordre relationnel, je n'ai jamais connu de véritable relation avec une femme, parce que les antidépresseur coupent la libido, mais en plus peu de femmes s’intéressent à des hommes qui ont ce genre de problèmes, est ce par honte ou par peur ou bien les deux ? À mon age j'ai peu de chance de trouver une femme qui sera un mesure de me comprendre, alors j'écris, je fantasme sur vie qu'on m'a volé et sur les années que mes troubles ont détruit !

Je survie pour mes parents, désolé pour les autres, mais sans mais parents je ne serai plus là à vous parler...

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