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Cris de révoltes et autres
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30 septembre 2012

il n'exciste pas de violence "gratuite"

 

Actuellement la vie de Marseilles est en proie à une vague de violence crimininelle sans précédent (19 assassinats en moins d'un an 2012). Mais cette situation n'est pas le fruit du hazard, mais au laxisme gourvernemental qui a débuté il y a plus de trente ans. Durant cette époque, le mot d'ordre s'était "la prévention", on a vu le résultat d'une politique basée uniquement sur la prévention de la délinquance, de la violence, de l'incivilité est maigre voir misérable. Des gouvernements et des politiques sucessives ont cru à tord qu'il était possible d'acheter une paix "sociale" dans certains quartiers "chauds". Il est terminé et révolu le temps de l'Etat "providence", il est urgent et grand temps  que la France redevienne un Etat de Droit pour mettre un terme à des "cités de non droits" ou des "caïds" font régner la loi du criminel le plus "puissant" à l'image de "Tony Montana"...  L'Etat providence a habitué plusieurs générations à l'argent facile sans le moindre effort, il suffit d'aller certaines administrations pour avoir droit à cet argent "facile". Une fois ces sources à sec, les autres sources d'argent "facil" sont les trafiques en tous genres illicites plus que licites. Ces trafiques permettent de gangner beaucoup en peu de temps et contribuent à l'instauration d'une économie "parallèle et souteraine". Un guetteur à la solde des dealers peut gagner entre 30 et 100€ par jour. Allez donc ensuite expliquer à un jeune déscolarisé depuis un bon moment, qu'il doit aller à l'école pour s'intruire et plus tard apprendre un métier dans le salaire n'atteindra même pas ce qu'il gagne en étant dans l'illégalité la plus flagrante! Oui une minorité de ces jeunes laissés livrés à eux - mêmes deviennent des "Tony" des quartiers , d'immeuble, connaissant une ascension rapide, l'argent facile, les filles de "luxe"... Mais aussi une fin tragique et violente signée d'un ou plusieurs raffales d'AK47, pour quelques mètres de territoire en plus.

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